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| Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. | |
| Auteur | Message |
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Roxane Cleavenger
— messages : 22 — pseudo : Wonderwoman — crédits : White Rabbit + Baby Gone — jukebox : David Bowie - Space Oddity
| Sujet: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Sam 4 Sep - 21:38 | |
| © cherryblossom 1. easy as abc
prénom(s) et nom - Je n'étais pas encore née que ma mère avait déjà choisi avec insistance mon prénom: j'allais m'appeler Roxane. Mon père n'a pas eu son mot à dire dans le choix de mon prénom, mais à vrai dire il s'en moquait éperdument, car il m'avait déjà trouvé un surnom déjà tout choisi (mais il est si ridicule que jamais je ne vous le dirai). J'aimerais vous faire croire que je m'appelle Roxane car ma mère est une fan invétérée de Police, mais ce serait vous mentir: en réalité, si je m'appelle Roxane, c'est parce que ma grand-mère russe répondait également à ce doux prénom et la mère trouvait que c'était une manière comme une autre de lui rendre un hommage. Soit. Mon nom, quant à lui, vient de mon père et Cleavenger prouve bien ses origines anglaises que j'affectionne particulièrement. D'ailleurs, normalement, mon nom de famille vous rappelle une grande entreprise connue internationale appartenant à mon père, c'est pourquoi je ne le porte pas avec joie mais plutôt avec réticence: je ne veux pas qu'on me catalogue tel une bourgeoise hautaine, voyez-vous. date de naissance et âge - Je suis née le dix neuf août mille neuf cent quatre vingt douze et j'ai donc finalement dix huit ans. origines - Ma mère a des origines russes, d'ailleurs toute sa famille parle dans ce langage que j'affectionne particulièrement et que je maîtrise depuis mes dix ans, tandis que mon père est anglais de pur souche. Leur différence d'origines a été un obstacle au début, puis finalement cela va paraître banal à dire et idiot, mais cela a été pour eux une force. etat civil - Et cette question, je la vomis. J'aimerais vomir sur vos chaussures pour que vous voyez combien cette interrogation provoque chez moi le dégoût. Je ne peux pas vous répondre, je suis désolée. Intérieurement, je suis veuve, je suis une putain de veuve qui ne veut pas avancer et qui voudrait cruellement être encore en couple, même si c'était secret, même si c'était bien trop compliqué. Alors finalement, je dois mentir en disant avec le sourire le plus hypocrite du monde que je suis célibataire. Simplement célibataire. job -Je suis étudiante, et bien qu'au début mes études ont été assez chaotiques vu à ce changement de pays, je me débrouille relativement bien, ce n'est pas un soucis pour moi les fantômes et vous-Faites-moi rire. Je n'y crois pas du tout, j'ai toujours été très terre à terre et ce depuis mon enfance. Les histoires bidons qui font peur? Je n'y ai jamais cru, ça m'a toujours fait plus rire qu'autre chose. avatar - Carey Mulligan
2. built for myself
How could I live on not hoping we will meet again?
« Installe-toi, Roxane, sois détendue, je ne compte pas te faire un interrogatoire. »
Je pénètre doucement dans la pièce et à peine rentrée, je souhaite à tout prix m'échapper, partir loin d'ici. Pourtant, je fais semblant, comme à mon habitude en ce moment: je souris gentiment à la psychologue du lycée tout en m'installant au fond du fauteuil. Angoissée, mes mains tapotent nerveusement sur mes genoux tandis que je fixe la psychologue, qui s'installe face à moi tout en portant ses lunettes au bout de son nez et en pianotant quelques mots sur son ordinateur portable.
« Bien. Comme tu le sais, ce rendez-vous n'est qu'une formalité, mais suite à la mort de ton professeur Monsieur Mccandless, je suis obligée de voir chacun de ses élèves pour être sûre qu'ils ne sont...Pas trop choqués, tu vois ce que je veux dire? »
Et qu'elle se taise, qu'elle se taise avant que je l'égorge de mes propres mains. Parler de la mort de Noah comme si tout ceci relevait de la normalité, comme s'il n'était qu'une formalité. Les poings serrés, je me contente d'acquiescer en guise de réponse tandis que je me mordille la lèvre inférieur afin de contenir ma rage et mon désespoir. Puis finalement, la femme me regarde avec insistance et je comprends qu'elle attend de moi que je parle de Noah, ce que je ressens. Si elle savait, si seulement elle savait. J'ouvre durement la bouche, et pourtant aucun son ne sort: parce qu'il n'y a rien à dire, parce que les mots ne pourront pas me le ramener.
« Roxane, tu ne veux pas me parler de ce que tu ressens après cette terrible histoire? » « Je...Non. » « Tu sais, tout cela restera confidentiel. Ne me vois pas comme une ennemie, je suis là pour soulager ta peine et pour que tu me parles. C'est toujours un choc pour des adolescents de perdre un de leur professeur, et c'est normal de se sentir triste. »
C'est normal de se sentir triste? Oh, j'aimerais tant l'être. J'aimerais tant être purement et simplement triste. Mais non, je suis abattue, anéantie, accablé et dévastée. Parce que oui, la mort de Noah a emporté ma vie, parce que non, je ne peux pas imaginer ma vie sans lui. Et à cet instant précis, mon corps est tel une machine qui a atteint sa force maximale, qui va probablement bientôt exploser. Toute mon âme est emplie de haine, criant à l'injustice, hurlant jusqu'à dégobiller pour que Noah me revienne alors que mon esprit est envahi de désespoir et de calamité.
J'ai toujours été cette fille rebelle, mais tout de même très posée et sage. J'ai toujours réfléchi à mes propos avant de les énoncer, je n'ai jamais été violente et victime d'impulsivité et pourtant. Pourtant, à ce moment fatidique, c'est comme si je suis victime d'un débordement d'émotions déréglant tout ce que je suis et faisant disparaître tout ce en quoi je crois. Alors je me lève, et je tourne autour du canapé en espérant trouver enfin le calme, mais cela ne fait qu'amplifier. Je vais exploser. Finalement, la psychologue souffle mon prénom et je m'arrête immédiatement, alors que mes mains s'enfoncent dans le haut du canapé comme pour soulager un peu de ma rancœur.
« Vous ne pouvez pas dire tout ce que je vais vous avouer, c'est bien cela? » « Parfaitement, je suis tenue par le secret professionnel. » « Bien...Vous me dites que c'est normal d'être triste d'avoir perdue un de ses professeurs, mais je n'ai pas perdu un professeur. J'ai perdu mon petit ami, et plus que ça, j'ai perdu celui qui m'était le plus cher, celui qui me rendait davantage heureuse chaque jour passé à ses côtés. Il est l'homme de ma vie et riez, si vous voulez, devant ma naïveté, pensez que je ne suis qu'une imbécile adolescente croyant un peu trop l'amour, je m'en moque éperdument.
On s'était dit qu'on n'avouerait à personne notre relation afin d'éviter les ennuis, mais maintenant, ça ne compte plus. A dire vrai, depuis sa mort, il n'y a plus rien qui compte. Rien.
Ce que je ressens après cette terrible histoire? C'est comme si on avait arraché mon cœur et que toute ma joie de vivre, toutes mes qualités s'étaient envolées avec lui. Je suis peut-être trop ingénue, mais voilà, vous vouliez savoir, à présent vous savez tout.
Puis-je m'en aller? J'ai un cours dans cinq minutes. »
Avant, il suffisait de nous regarder pour que nos cœurs battent hors du temps. Pourtant, cette fois-ci, le mien bat irrégulièrement, mais est seul. Désespérément seul. Boum boum boum...
It's a new day, it's a new life for me....And I'm feeling good.
« Tu n'es qu'une idiote. »
Ma mère est là, les bras croisés derrière moi et elle me regarde faire sans broncher. A dire vrai, elle préfère m'insulter et me regarder de haut plutôt qu'agir. Pourtant, ses mots ne m'atteignent pas, et je continue de plier soigneusement mes affaires dans mon sac à dos. Je soupire profondément et j'aimerais que tout cela soit finit rapidement. A dire vrai, j'ai déjà tout prévu, je sais déjà comment ça va se dérouler, et j'ai déjà appris mon texte par cœur que je vais réciter à mes parents pour leur dire au revoir. Seulement, je n'avais pas prévu que ma mère tombe nez à nez sur moi, en train de faire mes valises. Alors que je porte de mes deux bras mes gros sacs, ma mère m'empêche de sortir de ma chambre et son regard strict me fait comprendre qu'elle ne bougera pas de là tant que je n'aurais pas changé d'avis. Et ce trait de caractère, je l'ai également, alors je pose mes affaires au sol, tandis que je m'assois sur l'une de mes valises.
« Je partirai Maman, quoique tu dises, quoique tu fasses. J'attendrai votre sommeil pour sortir par la fenêtre, et si m'enfermes à clé tu sais que je n'hésiterai pas à briser tout ce qui m'empêchera de partir. Tu me connais, lorsque j'ai une idée en tête, je ne la quitte pas. Alors laisse-moi partir, s'il te plaît. » « Ton père ne te laissera jamais faire, tu sais. Ton père va être très déçu, et énervé. Veux-tu vraiment qu'il soit ainsi par ta faute? »
Ses paroles ont le don de me blesser et de me rendre plus qu'en colère: mais après tout, je ne suis qu'une adolescente, il paraît que c'est normal de prendre trop les choses à cœur à cet âge. Immédiatement, je me lève de ma valise pour me diriger vers la fenêtre, où j'aperçois le voisinage, ses maisons de luxe où la perfection semble régner, où bonheur et joie paraissent être les mots d'ordre. Mais moi, ce n'est pas ce que je veux. Moi, ce décor, ces mises en scène, je n'en veux plus. J'aimerais juste vivre normalement, faire des erreurs, me sentir libre. Et je sais que demain, je partirai, le cœur léger, et ce sera la meilleure décision que je n'ai jamais eu. Alors je me retourne vers ma mère, et je ne maîtrise plus mes décibels, qu'elle voit ma haine envers eux, qu'elle soit choquée par mes mots que je hurle. Qu'elle voit mon véritable visage.
« Mon père...Mon père...Tu parles tellement à travers lui que j'ai l'impression que tu n'existes pas. Tu te préoccupes tout le temps de ce que pensera Papa, mais as-tu ne serait-ce qu'une fois songer à ce que tu voudrais toi ? Alors, c'est de ça que tu rêvais quand tu avais mon âge Maman? Incapable de penser par toi-même, sourire à tes voisins alors que tu les détestes tous, rester à la maison à boire un peu trop, à passer des heures devant ton dressing pour savoir ce qui te rendre un peu plus superficielle, puis continuer à vivre avec cet amour entre vous qui n'est qu'artificiel ? Je ne veux pas devenir comme toi Maman, moi, je veux vivre, je veux ressentir de véritables sentiments. Et je sais que si je reste un peu plus longtemps ici, je ne serais qu'une pâle copie de toi. »
Et j'aurais aimé, à cet instant précis, que ma mère laisse transparaître quelque chose, que ses sourcils se froncent ou bien qu'elle fonde en larmes, qu'elle me gifle pour une impolitesse ou bien qu'elle me supplie de rester. Pourtant, comme à son habitude, elle reste de marbre et à croire que le botox qu'elle a eu au visage l'empêche de penser, et de ressentir des sentiments humains. Alors qu'elle commence à s'en aller, elle fait finalement demi-tour et me regarde, plus hautaine que jamais.
« Tu n'es qu'une pauvre petite ingrate. Depuis ta naissance, nous t'avons tout donné, tous les jouets que tu désirais, tu les as eu, et c'est ainsi que tu nous remercies? Grandis, arrête de croire que tu n'es qu'une pauvre victime de la société et constate la chance que tu as. Moi, à ton âge, j'aurais tué pour être à ta place. »
Puis finalement, elle tourne les talons et elle descend au rez de chaussée. Je prends alors conscience que je commence déjà à être comme elle, car ses paroles auraient dû me briser le cœur, elles auraient dû me faire pleurer jusqu'à en vouloir mourir, et pourtant aucun sentiment me transperce mis à part la satisfaction. Parce que je sais que dans quelques minutes, une nouvelle vie s'offrira à moi.
D'un pas décidé, je me remets à porter mes deux valises alors que je descends doucement les escaliers. Je peux déjà apercevoir mon père, assis sur le canapé avec un verre de whisky entre ses mains et ma mère, assise sur l'accoudoir à côté de lui, afin de poser sa main sur son épaule. Je n'ai pas besoin de voir le visage de mon père pour comprendre qu'il est excédé, et qu'il va bientôt exploser sous l'effet de l'irritation que j'ai provoqué chez lui: en effet, ses mains sont fermement posés contre le verre, et je me demande d'ailleurs si celui-ci ne va pas bientôt se briser entre ses doigts.
Mes affaires personnelles posées près de la porte, je soupire profondément afin de me donner du courage. Puis, je m'avance doucement vers mes parents tandis que je joins mes mains derrière mon dos, chose que je fais à chaque fois que je veux annoncer à mes parents quelque chose d'important. Alors que j'entre ouvre la bouche pour commencer le récit que je connais sur le bout de mes doigts, mon père m'ordonne de me taire, d'une voix sèche et dure, et je m'exécute.
« Te rends-tu compte des conséquences de tes actes, Roxane? » « Papa, je sais que tu me connais, et je sais aussi qu'au fond de toi tu sais que je fais le bon choix. J'ai toujours été quelqu'un de responsable, et ne me contredis pas lorsque je te dis ça. Je vous remercie pour tout ce que vous avez fait pour moi, mais maintenant, je veux m'occuper de ma vie, à ma manière. » « Mais bon sang Roxane tu n'as que quinze ans ! » « Tais-toi, Eva. Sache, Roxane, qu'au moment où tu franchiras cette porte, que tu ne pourras pas faire machine arrière. Tu ne pourras pas revenir suppliante pour qu'on te reprenne, et ne compte pas sur nous pour t'aider financièrement. Sache que si tu franchis cette porte, tu seras à présent seule, et nous te considèrerons plus comme notre fille. » « Je suis prête à prendre le risque. »
Mes parents n'osent pas affronter mon regard, et alors la dernière image que j'aurais d'eux sera mon père, préférant fixer lentement son verre et ma mère, la tête dans ses mains en murmurant dans sa langue natale que ceci ne peut se produire. Soit.
Je l'ai fais. J'ai franchi cette porte. Et qu'importe les pleurs de ma mère que j'entends au loin, je continue à avancer, sans me retourner, sans regretter. La liberté a un léger goût d'amertume, mais avant tout, de bonheur.
3. that's not my name
pseudonyme et ou prénom - wonderwoman âge - dix sept ans mais dans cinq jours dix huit (noooon, ce n'est pas vrai, c'est un mensonge, je vais pas être majeure.) avis sur le forum - Je me suis déjà un peu étalée sur le forum scénario, mais je veux bien vous lancer encore un peu de fleurs (mais seulement un peu sinon j'ai peur pour la taille de vos chevilles héhé). Je trouve que le contexte est simple (ce que j'aime) et pourtant il y a une touche d'originalité qui fait toute la différence et qui me fait kiffer à mort (wesh wesh). Le design, j'ai toujours aimé le violet car je trouve qu'il peut être sobre, classe, joyeux sans l'être à la fois. Toujours une certaine simplicité qui me plaît beaucoup. Sans parler du scénario que j'ai adoré... :) présence potentielle - cinq sur sept crédits - White Rabbit le code - noah passa par là.
Dernière édition par Roxane Cleavenger le Dim 5 Sep - 23:01, édité 13 fois |
| | | Noah McCandless oh please, please me.
— messages : 211 — pseudo : Bb. - Haze. — crédits : Bedshaped. — jukebox : the xx, infinity.
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Sam 4 Sep - 21:44 | |
| (préviens-moi si tu as besoin de plus d'un post ) bienvenue, et merci encore d'avoir pris Roxie j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire |
| | | Roxane Cleavenger
— messages : 22 — pseudo : Wonderwoman — crédits : White Rabbit + Baby Gone — jukebox : David Bowie - Space Oddity
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Sam 4 Sep - 21:58 | |
| Je pense que ça devrait aller :) Merci beaucoup pour l'accueil chaleureux, et j'espère que ce que je ferais de Roxie te plaira, en tout cas. :x |
| | | remedy fitch REMY ☂ the very bad thing
— messages : 308 — pseudo : RIDDLE / crocochou — crédits : JANE, la grande. — jukebox : « ma benz » BRIGITTE
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Sam 4 Sep - 22:11 | |
| la magnifique carey bienvenue parmi nous |
| | | Roxane Cleavenger
— messages : 22 — pseudo : Wonderwoman — crédits : White Rabbit + Baby Gone — jukebox : David Bowie - Space Oddity
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Sam 4 Sep - 22:11 | |
| Merciiiiiiiiiiiiiii. |
| | | Indie Daniels
— messages : 150 — pseudo : blueb. bluebird. — crédits : © CRISTALLINE (avatar). — jukebox : THE KOOKS, naive.
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Sam 4 Sep - 22:22 | |
| Carey la superbe Bienvenue (: |
| | | Roxane Cleavenger
— messages : 22 — pseudo : Wonderwoman — crédits : White Rabbit + Baby Gone — jukebox : David Bowie - Space Oddity
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Sam 4 Sep - 22:57 | |
| Venant de Dianna la sublime, c'est cool cool cool ! Merci. :) |
| | | Noah McCandless oh please, please me.
— messages : 211 — pseudo : Bb. - Haze. — crédits : Bedshaped. — jukebox : the xx, infinity.
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Sam 4 Sep - 23:11 | |
| je sais pas si j'ai un problème mental, sentimental, ou je ne sais quoi du genre, mais je m'impressionne toujours lorsque je me rends compte de quelle façon mon coeur accélère à chaque fois que je lis ne serait-ce qu'un tout petit bout de la fiche d'un scénario que j'ai crée et quand c'est aussi bien écrit que ce que je viens de lire à l'instant, je fond carrément, oui oui, je me retrouve réduit à cet état-là, mais bon Dieu qu'est-ce que ça fait du bien voilà, je raconte ma vie pour te dire que je viens de lire cette première partie, et que j'adore cette façon que tu as d'écrire, j'ai l'impression d'avoir devant mes yeux de l'Austen, et j'adore ça pis surtout, tu cites Police, POLICE. c'est évidemment grâce (ou à cause, à voir) à eux que tu t'appelles ainsi continue, continue, et je reviendrais baver devant ta fiche |
| | | Roxane Cleavenger
— messages : 22 — pseudo : Wonderwoman — crédits : White Rabbit + Baby Gone — jukebox : David Bowie - Space Oddity
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Sam 4 Sep - 23:23 | |
| Wow, je ne m'attendais pas à ça, t'es tout simplement adorable, merci encore et encore. |
| | | remedy fitch REMY ☂ the very bad thing
— messages : 308 — pseudo : RIDDLE / crocochou — crédits : JANE, la grande. — jukebox : « ma benz » BRIGITTE
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Dim 5 Sep - 11:37 | |
| - Noah McCandless a écrit:
- je sais pas si j'ai un problème mental, sentimental, ou je ne sais quoi du genre, mais je m'impressionne toujours lorsque je me rends compte de quelle façon mon coeur accélère à chaque fois que je lis ne serait-ce qu'un tout petit bout de la fiche d'un scénario que j'ai crée et quand c'est aussi bien écrit que ce que je viens de lire à l'instant, je fond carrément, oui oui, je me retrouve réduit à cet état-là, mais bon Dieu qu'est-ce que ça fait du bien voilà, je raconte ma vie pour te dire que je viens de lire cette première partie, et que j'adore cette façon que tu as d'écrire, j'ai l'impression d'avoir devant mes yeux de l'Austen, et j'adore ça pis surtout, tu cites Police, POLICE. c'est évidemment grâce (ou à cause, à voir) à eux que tu t'appelles ainsi continue, continue, et je reviendrais baver devant ta fiche
C'est idiot, mais je partage tout ce que noah dit. tout. Tes mots, tes phrases : elles dégagent des sentiments comme je l'ai rarement vu. Non, vraiment, piou piou a de la chance de t'avoir pour jouer son scenario, parce que là, moi, j'en peux plus, la bave inonde mon clavier et un sourire béat a décidé de s'installer sur mes lèvres. Et en plus, c'est qu'un début |
| | | Roxane Cleavenger
— messages : 22 — pseudo : Wonderwoman — crédits : White Rabbit + Baby Gone — jukebox : David Bowie - Space Oddity
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Dim 5 Sep - 13:39 | |
| Wow C'est vraiment adorable, et honnêtement je m'attendais pas à de telles réactions, ça fait plaisir. Merciiiiii ! |
| | | Roxane Cleavenger
— messages : 22 — pseudo : Wonderwoman — crédits : White Rabbit + Baby Gone — jukebox : David Bowie - Space Oddity
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Dim 5 Sep - 21:16 | |
| Désolée, du double post, mais c'est pour annoncer que ma fiche est terminée. Mea culpa pour le côté médiocre de ma deuxième anecdote, mais le fait est que j'ai le cerveau qui a été envahi par un énorme rhume donc je n'ai pas toute ma tête, mais j'avais tellement hâte de finir ma fiche héhé |
| | | Noah McCandless oh please, please me.
— messages : 211 — pseudo : Bb. - Haze. — crédits : Bedshaped. — jukebox : the xx, infinity.
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Dim 5 Sep - 22:40 | |
| la fiche est superbe mon chou j'ai déjà tout dit ce que je pensais, toutes mes paroles s'appliquent également pour ce reste de fiche, donc, je n'ai rien à redire je pense que tu as magnifiquement bien cerné Roxane, je suis vraiment content de ta version d'elle, j'ai hâte de rp avec toi, merci encore une fois de l'avoir prise ne manque plus qu'une chose; le code. celui que tu as mis est faux mais comme ma journée à été looongue, et que j'ai besoin de sommeil, je pars me coucher, je laisse donc le loisir de te valider à un autre admin si quelqu'un passe par là, sinon je le ferai moi-même demain sache que tu m'envoies au lit tout chamboulé |
| | | Roxane Cleavenger
— messages : 22 — pseudo : Wonderwoman — crédits : White Rabbit + Baby Gone — jukebox : David Bowie - Space Oddity
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Dim 5 Sep - 23:02 | |
| Merci. En fait, j'ai fait exprès de me tromper dans le code pour recevoir le coup de fouet. (on y croit, on y croit) Bonne nuit en tout cas :) |
| | | Noah McCandless oh please, please me.
— messages : 211 — pseudo : Bb. - Haze. — crédits : Bedshaped. — jukebox : the xx, infinity.
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. Lun 6 Sep - 18:22 | |
| wesh wesh, on y croit à fond, vilaineuh. VALIDÉE. |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. | |
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| | | | Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée. | |
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