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la raison, c’est l’intelligence en exercice ; l’imagination c’est l’intelligence en érection (uc).

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Etain Oliver
Etain Oliver



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MessageSujet: la raison, c’est l’intelligence en exercice ; l’imagination c’est l’intelligence en érection (uc). la raison, c’est l’intelligence en exercice ; l’imagination c’est l’intelligence en érection (uc). Icon_minitimeVen 10 Sep - 21:44


la raison, c’est l’intelligence en exercice ; l’imagination c’est l’intelligence en érection (uc). Tumblr_l75s3gcOaX1qbh4o4o1_500
@tumblr

1. easy as abc


    prénom(s) et nom - Etain. Un simple prénom. Doux, poétique. Quelle ironie, pense la personne qui connait un tant soit peu le jeune homme.
    date de naissance et âge - écrire ici
    origines - écrire ici d'où vient votre personnage, s'il est natif d'ecosse ou s'il vient du fin fond du chili, d'angleterre ou d'afrique du sud.
    etat civil - célibataire, marié, en couple ?
    job - écrire ici le métier (ou son absence de) de votre personnage, surtout s'il s'agit d'un employé du château (vérifiez la liste des métiers du château @ ce lien) . S'il est étudiant, précisez son niveau et tout ce qui va avec.
    les fantômes et vous- y croit-il ? ça l'amuse, l'effraie ?
    avatar - Eddie Redmayne.




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Dernière édition par Etain Oliver le Ven 10 Sep - 21:51, édité 3 fois
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Etain Oliver
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2. built for myself


« Papa, elle est où, maman ? » Erwin Oliver soupira et regarda avec tendresse le petit garçon qui était assis sur ses genoux et qui le regardait de ses grands yeux clairs. Il se doutait que le moment arriverait un jour mais il n'avait pas le cœur à répondre. D'un geste qui paraissait machinal, il passa ses doigts dans les cheveux blond du petit garçon qui vint aussitôt se blottir dans ses bras. « Maman... Elle est très loin, très loin d'ici. Là-haut... » Il dirigea son doigt vers le ciel qui se peignait de bleu foncé et tous deux levèrent les yeux vers les premières étoiles. Le petit garçon enfouit son visage dans le cou de son père, mit son pouce dans sa bouche et continua inlassablement de contempler le ciel. « Maman est une étoile ? Alors elle nous regarde, tous les soirs ? » Erwin sourit. Il avait beau n'avoir que cinq ans, le petit garçon lui faisait déjà tellement penser à sa mère. Il voyait dans ses grands yeux la même lumière qui le guidait. La même avidité d'avoir des réponses à toutes ses questions. Le même regard à la fois rêveur et mature. La même intelligence qui dépassait tout ce qu'il pouvait imaginer. Physiquement aussi, le petit garçon était son double, sexe mit à part. Ses cheveux roux foncé et fous encadraient un visage très pâle et fin, aux traits doux. Il avait la même façon de sourire, la même façon de froncer les sourcils, le même air serein qu'elle avait pendant qu'elle dormait et lorsqu'il pleurait, son visage se fermait de la même manière. Seule ses yeux étaient différents. Au lieu d'avoir des iris marrons semblables à ceux de sa mère, il avait hérité de la couleur verte de son père. Inutile de dire qu'Erwin avait toujours été très fier de cette ressemblance. Malgré le bonheur sans limite qu'il éprouvait chaque fois qu'il regardait son fils, il ne pouvait s'empêcher d'être nostalgique en repensant à son unique amour qui lui avait laissé, en cadeau d'adieu, le merveilleux petit blondinet qu'il tenait entre ses bras musclés. « Oui, dit-il enfin. Maman est une étoile. Et elle veille sur toi, d'où elle est. Elle te regarde et fait en sorte que tout aille bien pour toi. Et n'oublie jamais que tu pourras toujours te tourner vers elle, lorsque tu te sentiras triste. Parce que maman, elle aime aider les gens. » Comme si il avait ressentit la détresse de son père, le petit garçon redressa la tête, sans déserrer son étreinte et, approchant son visage de celui de son père, il l'observa quelques instants. Il cligna des yeux en voyant les gouttes d'eaux couler des yeux verts – les mêmes que lui – de son père. Il avait beau être très jeune, il savait parfaitement bien que si sa mère était montée parmi les étoiles, c'est qu'elle ne reviendrait pas et que jamais il ne pourrait la voir. La serrer dans ses petits bras. Il savait que sa maman était morte et il savait que son père était triste. C'est pour ça qu'il se forçait de ne pas pleurer, lui aussi. Tout doucement, il s'approcha et déposa un baiser sur la joue bronzée d'Erwin. « Pourquoi tu pleus, papa ? » Erwin adressa un sourire à son fils et d'un geste du bras, essuya ses larmes sur la manche de son pull. Il connaissait fort bien son petit garçon et son esprit parfois étonnement perspicace et, par conséquent, il était conscient qu'il savait que sa mère était morte. Il ne lui offrait ces métaphores simplement pour qu'il puisse conserver son esprit d'enfant et qu'il n'ai pas à grandir trop vite. D'une voix douce, il lui répondit : « Parce que maman me manque. » Le petit garçon hocha la tête et retourna se pelotonner contre le torse d'Erwin, se laissant bercer par sa respiration calme et régulière. Il ferma les yeux et serra entre ses doigts un pan du pull de son père, respirant son odeur apaisante. Il adorait son père, et il aimait aussi quand il le prenait en voyage avec lui. Parfois, il l'emmenait dans d'autres pays. Il retournait souvent dans sa ville natale, pour lui montrer les animaux en voie de disparition dont il s'occupait, avant qu'il ne naisse. Il en profitait, souvent, pour donner un coup de mains à ses amis restés là-bas qui l'accueillait avec joie et qui étaient heureux de s'occuper de lui, qui s'intéressait à tout, pendant qu'Erwin travaillait. Rapidement, le petit garçon sentit son père sombrer dans le sommeil. Il ne s'en étonna pas. Lui aussi, après avoir pleurer, s'endormait pour que les rêves prennent la place de la tristesse. Il ne bougea pas, trop inquiet de réveiller son père. Après une dizaine de minutes à ajuster sa respiration sur le même rythme que celle d'Erwin, il entendit la porte qui donnait sur le jardin s'ouvrir doucement et, précautionneusement, tourna la tête. Oncle Alban, deux tasses à la main, les avait rejoints dans le jardin de la maison et avant qu'il n'ai put dire quoi que ce soit, il posa son index sur ses lèvres closes, lui intimant de cette façon de ne pas parler trop fort. « Papa doit dormir pour qu'il ne soit plus triste en se réveillant. » « Papa est triste ? » « Oui. Parce que maman est devenue une étoile alors elle lui manque. » Alban fit un sourire hésitant à son petit neveu et jeta un regard triste à son frère. Il était tellement malheureux pour lui qu'il en aurait pleuré avec lui. Il appréciait beaucoup la mère défunte de son neveu et il savait à quel point son frère l'avait aimée et l'aimait encore aujourd'hui. Il s'avança jusqu'au petit brun pour lui tendre la tasse qu'il tenait dans sa main gauche et qui, au ravissement du garçon, contenait du chocolat chaud avant de lui ébouriffer familièrement les cheveux. Il recula et retourna jusqu'à la porte. Avant de rentrer dans la cuisine de la maison, il se retourna vers son neveu et désigna la tasse qu'il tenait toujours en main. « Etain, quand Erwin se réveillera, dis-lui qu'il y a une tasse de chocolat pour lui dans la cuisine. » Erwin hocha joyeusement la tête et sourit. « D'accord, tonton Al. »




« J'aurais aimé être la fille que tu aurais eu peur de blesser. » La seule réponse que la jolie brune allongée face à moi obtint, fut le nuage de fumée de cigarette que je lui soufflai à la figure, un sourire narquois sur les lèvres. « Tu voudrais pas qu'on se marie, aussi, tant qu'on y est ? » Son visage se décomposa lentement, tout en me fixant de ses grands yeux marrons et indéchiffrables. Elle se redressa sur un coude, plongée dans un mutisme qui, je le savais très bien, n'était pas bon pour moi. Ça allait encore me retomber dans la gueule. Obligé. Nous sommes restés là, à nous observer mutuellement pendant une bonne minute. Elle, étendue sur le drap brun et encore froissé de la nuit que nous venions de passer ensemble, à peine vêtue d'une de mes chemises et de ses sous-vêtements, les cheveux en bataille et les joues rouges. Et moi, adossé au matelas, d'un jean et d'un tee-shirt brun vêtu, jambes pliées et coudes appuyés nonchalamment dessus, la clope au bec. Je ne savais pas quel dilemme était entrain de faire rage dans son esprit, mais elle avait l'air absorbée, si bien que je me contentai de la regarder, mon habituel sourire cynique flottant sur mes lèvres. À vrai dire, je me fichais pas mal de ce à quoi elle pensait. Ce n'était pas pour ses réflexions métaphysiques à mourir d'ennui que j'étais avec elle depuis sept mois. Sept mois. Sept mois. Sans doute la plus longue de mes relations jusqu'à présent. D'habitude, je commençais à m'ennuyer à partir de trois ou quatre mois, alors je rompais. Ou pas. Je n'avais jamais été amoureux. D'aucune des filles avec qui j'ai déjà passé une partie de ma vie. Mais il faut bien s'entretenir, alors pour la forme, j'en emmenais parfois au restaurant, leur faisant croire que je brûlais d'un amour passionnel pour elle. De la pure daube. À croire que j'avais trop laissé cette relation-là traîner en longueur, vu la tournure que prenaient les choses, et les phrases qu'elle arrivait à me sortir.
La fille que j'aurais eu peur de blesser.
Je me retins de ricaner. Comme si ça aurait pu être possible. Aucune femme n'était assez importante pour moi pour que l'idée de lui faire du mal me rebute à ce point. Même elle, que je connaissais pourtant depuis longtemps. « Mais est-ce que tu t'entends parler ? » murmura-t-elle. Voila, ça y est. C'était parti. La machine à engueulades avait été mise en route. Je soupirai imperceptiblement. « Ouais. Ouais, je crois que je me suis entendu. Et j'ai même pensé ma phrase avant de la dire, donc il me semble que je sais ce que j'ai dis, tu crois pas ? » Le truc, LE truc à ne pas dire. Mais soit elle me connaissait suffisamment pour savoir que toutes ses histoires d'avenir, de Celle, et toutes ces conneries ne m'intéressaient pas, soit elle se faisait encore des illusions sur un possible amour fusionnel entre nous, et elle dégageait. D'un bond, furieuse, elle se releva et sauta du lit pour le contourner et se planter devant moi, les poings sur les hanches. À la voir ainsi, j'aurais volontiers éclaté de rire en lui conseillant d'arrêter de se prendre – et par la même occasion, de me prendre – la tête, mais dans ses yeux brillait une lueur farouche et rageuse qui dissuadait d'un quelconque commentaire désobligeant. « T'es qu'un beau connard, Etain. » En plein dans le mille. J'allais lui lancer une répartie moqueuse, pas vexé le moins du monde, mais elle en décida autrement. Agacée, en colère, elle se pencha et arracha la cigarette coincée entre mes lèvres, pour la jeter par la fenêtre avec rage. C'est idiot à dire, mais c'est ce qui déclencha ma colère. Elle me provoquait, la conne. Mes yeux s'assombrirent, ma mâchoire se serra. Pour qui elle se prenait, putain ? Lentement, je me redressai à mon tour, la surplombant de toute ma hauteur – je frôlais un bon mètre quatre-vingt-cinq, tout de même – le visage fermé et froid. « Pardon ? » Je devais paraître vraiment effrayant, car elle recula d'un pas. Ma fureur ne diminuait pas. La sienne non plus. Au contraire. La vision de l'autre semblait raviver à chaque coups d'œil la rage qui, bizarrement, nous animait. « T'as bien comprit, espèce d'enfoiré. T'es toujours entrain de te foutre de la gueule des filles, mais tu vas finir ta vie seul, mon pauvre. » Elle avait craché cette prédiction d'une voix qui se voulait haineuse, telle du venin. Elle eut sur moi l'effet d'une piqure de moustique. Était-ce tout ce dont elle était capable ? Pathétique. Un gamin de huit ans aurait trouvé quelque chose de plus méchant que ça. Pendant une seconde, les mains tremblantes de rage, je la dévisageai. Le temps semblait s'être arrêté. J'avais le sentiment que quelque chose se passait. J'ignorais quoi, comment, pourquoi, mais je sentais que je n'étais plus maître de moi. Machinalement, je levai doucement la main et, du bout des doigts, caressai sa joue. Elle semblait de cristal. Ce qui ne m'attendrit pas le moins du monde. Je la sentis frissonner au contact de mes doigts, incapable de dissimuler l'effet que je lui faisais encore. Un sourire triomphant s'étala sur mon visage, tandis que je frôlai ses lèvres entrouvertes du bout de l'index. « Je n'ai pas l'air si seul que ça, n'est-ce pas, Ludi ? » murmurai-je. Je ne sais pas ce qui se passa alors, mais elle sembla reprendre conscience de la situation, et tout se passa en un temps. Ses yeux s'agrandirent comme dans les films et elle recula d'un mouvement sec, écarta ma main de la sienne. « NE ME TOUCHE PAS ! » Je ne réagis pas tout de suite, le visage tourné vers la droite, la joue à vif, là où elle m'avait frappé. Elle m'avait giflé tellement fort qu'un liquide chaud et poisseux s'écoulait à présent des mes narines, je le sentais souiller mes lèvres. Le silence était tel, dans la pièce, que j'entendais son souffle précipité, bien qu'elle se tînt à bonne distance. Le silence était tel, dans la pièce, que le craquement de ma nuque résonna lorsque mon visage pivota vers elle, précipitant au passage quelques goutes de sang qui coulait de mon nez sur le plancher. J'avais l'air serein, j'avais l'air de quelqu'un de tout à fait calme, à cet instant précis. L'air, seulement. Car à l'intérieur, je bouillonnais. La rage faisait trembler mes doigts. Les attaques psychologiques, j'en avais rien à battre. Personne n'arrivait jamais à m'atteindre de toute façon – car je n'ai pas de cœur, comme se plaisaient à dire les mauvaises langues. Quand bien même un petit abruti se risquerait à m'insulter ou à tenter de me blesser, il se mangerait une bonne répartie dans la figure, et puis voila. En revanche, lorsqu'on partait sur le terrain des poings... Je suis un bagarreur de réputation, renvoyé de plusieurs écoles pour violence dans les couloirs. À toi de choisir si tu prends le risque ou pas. Elle l'avait pris. D'habitude, je m'en prend pas aux femmes. Tant pis pour elle. J'avais les mâchoires serrées lorsque je me mouvai. En deux pas, j'étais sur elle. D'une poigne que je savais dure et brutale, je la saisi par le bras et la tirai vers moi. « Qu'est-ce que tu viens de faire, là ? » D'une ruade, elle tenta de se dégager mais, hors de moi, les yeux exorbités, je la serrai encore plus fort. « Etain, lâche-moi. Tu me fais mal ! » Je lui faisais mal ? Mal ? Pauvre, pauvre petite salope. Je sentais mon visage déformé par la rage, je sentais mes muscles tendus, je sentais ma bouche se mouvoir d'elle-même pour articuler un « je t'emmerde, sale pute ». Ce que je ne sentis pas, en revanche, c'est la détente de mon poignet, qui la précipita sur le côté et l'envoya valser contre la table basse. Une expression de surprise douloureuse se figea sur ses traits lorsque le coin de la table buta violemment contre sa nuque. Puis plus rien.
C'était ridicule. Risible. Impensablement stupide. Pourquoi ne bougeait-elle plus ? Pourquoi ne se redressait-elle pas pour me coller un bon pied là où je pense ? Putain, mais qu'est-ce qu'elle fout ? Elle essaye de me faire peur, ouais, elle s'amuse, cette petite conne. C'est même une putain de bonne actrice. Je ne rentrerai pas dans son jeu. Non, hors de question. Je vais la laisser là à prendre son pied en me faisant flipper, je vais me casser, et quand je reviendrai, elle sera partie et on ne se reverra jamais. Ouais. Bon plan. Allez, tires-toi de là, Etain.
J'attrapai précipitamment mes clés et mon blouson au passage, et fermai la porte derrière moi. Dix secondes plus tard, j'étais au volant de ma voiture, droit comme un i, le visage rivé sur la route, les bras raides et les phalanges blanches tellement je serrai les mains sur le volant. J'étais tendu comme pas possible, la tête me tournait. Je ne comprenais pas pourquoi je me prenais autant la tête avec une gamine qui pensait m'avoir comme ça. Ça servait à rien d'avoir une trouille pareille, je l'avais fait tomber, c'était pas la mort, à ce que je sache. Au moment même où, parvenant enfin à me convaincre que je n'étais en rien fautif de quoi que ce soit, je soupirai en fermant une seconde les yeux, la lumière aveuglante de phares de voiture transperça mes paupières. Je n'eus que le temps de rouvrir brusquement les yeux pour voir l'énorme 4x4 qui arrivait à la vitesse d'une balle en sens inverse.


Dernière édition par Etain Oliver le Dim 12 Sep - 18:03, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: la raison, c’est l’intelligence en exercice ; l’imagination c’est l’intelligence en érection (uc). la raison, c’est l’intelligence en exercice ; l’imagination c’est l’intelligence en érection (uc). Icon_minitimeDim 12 Sep - 15:36

MON DIEU, AVEC EDDIE, JE TE VÉNÈRE À JAMAIS la raison, c’est l’intelligence en exercice ; l’imagination c’est l’intelligence en érection (uc). 355673 la raison, c’est l’intelligence en exercice ; l’imagination c’est l’intelligence en érection (uc). 298753
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