Pour être partenaire avec le forum, c'est bien simple : il vous suffit de remplir le formulaire suivant, de poster à la suite de ce message, et hop, le tour est joué. Nous nous gardons le droit de refuser un partenariat (si le quelque chose ne nous plait pas, s'il est inactif), en en donnant la raison ou non. NOUVELLE REGLE— le logo du forum devra être présent sur le votre avant toute demande (:
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Mistaken
Invité
Sujet: Re: — devenir partenaire ? Ven 18 Juin - 19:54
nom du forum — Kiss 'N Tell adresse du forum —
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http://kiss-n-tell.bbactif.com/
description du contexte —
Spoiler:
CONTEXTE
« Tes yeux ont croisés les miens Déja je n'y pouvais rien Et quelque part tout au fond tu a semmé Le trouble d'une occupation double. »
Émission de télé-réalité populaire au Québec, Occupation Double est un must de la télé à sensation. Pas étonnant qu'on ait décide de rendre l'aventure plus accessible. En effet, cette année, les candidats venus des États-Unis et du Canada en entier feront leur entrée dans les deux maisons. Qui plus est, l'aventure se déplace à Toronto pour l'occasion et on lui donne un nouveau nom : Kiss 'N Tell.
Mais qu'est Occupation Double? Le principe est simple : pendant dix semaines, quinze garçons et quinze filles seront confinés dans deux maisons, à l'écart du monde extérieur. Le but du jeu : trouver l'amour ! Mais cela ne sera pas si simple qu'il en parait. À l'aide de sorties, voyages et activités de toutes sortes (organisés par la production, bien entendu), les candidats auront le choix difficile de choisir ou d'éliminer l'un de leurs à chaque semaine afin qu'il ne reste à la fin que deux personnes. Un garçon et une fille, le couple gagnant !
Les célibataires les plus beaux des États-Unis et du Canada se donnent donc rendez-vous pour ces auditions qu'on dit haute en couleur et surtout, chaude (dans tous les sens du terme) ! Après tout, la compétition sera forte et la récompense elle-même vaut le détour : une maison, deux voitures et plusieurs autres prix en argent.
Isobel
Invité
Sujet: Re: — devenir partenaire ? Ven 18 Juin - 20:18
Bonjouur
nom du forum — Blood's Chronicles adresse du forum —
Code:
http://bloods-chronicles.forumactif.org/
description du contexte —
Spoiler:
Blood's Chronicles ; Behind Our Redemption ;
Et la, gisent nos cœurs, oubliés par terre. Alors que nos yeux s'obstinent, dans un dernier sanglot, à regarder le ciel. Dernière complainte, dernière passion. Éternelle. Et si ces jours, passés en enfer. Devaient être les derniers. Je vous fais la promesse, que ces dernières secondes seront providentielles.
{ Preface }
Nos minutes ne sont désormais plus que des poignées de terre. Dans ce ciel nuageux, nul bleu n'est apparent, nulle perfection ne nous est offerte, seuls les sanglots, précèdent nos cris sanglants, face à ce mal qui nous ronge... Un virus dit-on, un virus qui provoque la mort, mais là est la sentence la plus douce, car ce virus apporte aussi la résurrection. Mais, les malheureux qui connaissent cette deuxième chance reviennent différents, après avoir touché l'enfer. Ils deviennent des créatures des ténèbres, des vampires assoiffés de sang.
Aurez vous le courage de les affronter, de lutter contre l'impalpable ? Et si les démons existaient, les vampires, les sorciers et autres chimères bien plus puissantes, aurez vous l'audace de les repousser ?
Et si vous êtes bien malheureux, aurez vous le courage de pourchasser vos propres démons ? Eux qui peuvent prendre possession de vous à tout moment ? Ce n'est pas un cauchemar, c'est bien l'apocalypse qui vous menace. Pleurez, saignez, et aimez vous plus fort, ressentez chaque instant, car il se pourrait bien qu'ils soient les derniers.
{ Il y a Dix Ans, Ile Urbanisée située près de l'Ocean Indien, Hyperion }
Quatre amis de longue date se retrouvent pour boire un verre sur la plage de l'île Hyperion, entre rires et éclats, ils caressent un délicieux moment du bout des doigts. Après quelques verres de trop, ils s'abandonnent à la frénésie de l'ivresse. Leur folie les entraîne dans une petite grotte située sur cette plage, une grotte qui a tout d'un tombeau... Le leur. Tombant sur un livre ancien, ils lisent une phrase écrite dans un vieux latin. Ici, le mal commencera, ici il s'achèvera, les démons et vampires, naîtront peu à peu parmi les humains. Puis, en tournant les pages, une des amies s'écorche, une petite blessure faisant couler quelques gouttes de sang, elle ne se doute pas qu'elle vient de se contaminer d'un venin qui aura raison d'elle... Quelques jours plus tard, les amis reprennent leur vie, mais parmi les femmes présentes, celle qui s'est coupée prend l'avion pour les Etats Unis, elle ne se doute pas qu'elle est atteinte d'un virus qui détruira tout le reste de la planète. A sa mort, elle est devenue un vampire, et a contaminé des dizaines et des dizaines de personnes, des milliers même, qui revenues à la vie, deviennent des sangsues à leur tour.
Ce que vous ignorez, c'est qu'à leur départ de cette grotte le livre n'a pas seulement libéré un virus qui pousse peu à peu le monde vers les ténèbres... Il a aussi libéré un nombre incalculable démons, des créatures diaboliques aux pouvoirs incommensurables, qui n'ont plus qu'un seul désir, celui de la vengeance. Oui ces démons revenus des enfers comptent bien se venger de leur existence malheureuse et si éphémère sur les humains.
Un combat sanglant s'annonce, alors que les démons poussent peu à peu le virus vampirique à se propager... Toutefois, ils ignorent que des chasseurs, des gens choisis pour les combattre se réveillent peu à peu, accompagnés d'humains qui n'ont qu'un seul but, lutter pour leur survie. Des chasseurs, ainsi que de sorciers qui eux aussi dotés de pouvoirs, vont participer à cette guerre surnaturelle. Des élus, à la fois traqueurs et porteurs du virus, dotés chacun d'un pouvoir impressionnant, qui les amènera à sauver le monde ou à le détruire. Certains décideront peut être de combattre les forces du mal, mais d'autres préfèreront peut être répandre le chaos, comprenant la souffrance teintée d'une infinie colère des être démoniaques.
Alors maintenant, dans ce ciel, trouverez vous encore le courage de prétendre y voir des cieux ? Vos larmes inonderont-elles enfin ce monde, ce dernier tombeau ?
Chaque minute sera un sanglot, une course folle à la rédemption.
{ Aujourd'hui, Ile de L'Hyperion. }
L'île de l'Hyperion est désormais la seule île encore épargnée par l'apocalypse, dernière source de vie où se réfugient en masse les quelques humains survivants. Le reste du monde est tout simplement détruit, assiégé de toutes parts par les créatures des ténèbres que le livre a libéré... Mais désormais, les démons ont pour objectif de se débarrasser des chasseurs, et des derniers humains présents sur cette ile urbanisée... Plus rien n'est facile, tout s'embrume. Des élus, et autres chasseurs se liguent pour repousser ce fleuve d'ombre, ces démons et vampires qui se cachent parfois parmi les humains pour mieux les surprendre. Le ciel se voile, l'orage gronde, et plus rien désormais ne sera comme avant. Une guerre commence, une guerre pour la rédemption, pour votre âme.
Bien à vous.
remedy fitch
REMY ☂ the very bad thing
— messages : 308 — pseudo : RIDDLE / crocochou — crédits : JANE, la grande. — jukebox : « ma benz » BRIGITTE
Sujet: Re: — devenir partenaire ? Ven 18 Juin - 20:24
Mistaken et Isobel, les partenariats sont acceptés. Je vous ajoute dans la minute (:
Mistaken
Invité
Sujet: Re: — devenir partenaire ? Ven 18 Juin - 21:53
Merci beaucoup, Lennon ! Bonne continuation !
Seven
Invité
Sujet: Re: — devenir partenaire ? Dim 20 Juin - 10:51
Bonjour
nom du forum — Seven Fished adresse du forum —
Code:
http://seven-fished.superforum.fr/forum.htm
description du contexte —
Spoiler:
26 janvier 2010
Chers parents... Je suis à Boston depuis maintenant deux mois et franchement c'est le bonheur absolu. J'ai beau essayer de comprendre, je ne vois vraiment pas pourquoi vous vouliez m'interdire d'y venir. Cette ville est comme toutes les autres, voir encore mieux que toutes celles que je connais et pour moi c'est franchement la ville rêvée. Depuis mon installation dans mon petit appartement, je ne suis pas beaucoup sortie à part pour me rendre à mes cours de théâtre. Et oui votre petite fille adorée est devenue bien sage, elle ne sort plus autant souvent qu'avant. Normal d'un côté puisque je ne connais personne et surtout je me consacre entièrement à ma passion. Je dois avouer que la vie n'est pas toujours facile, mais je me dis que je vais m'y faire, après tout si je vous ai quitté c'est pour voir de quoi j'étais capable toute seule. Je dois quand même vous avouer quelque choses. Le peu de fois que je suis sortie boire un verre dans un des nombreux bars de la ville, j'ai trouvé que les personnes étaient changés. Enfin je veux dire part là que j'avais l'impression que les personnes que j'avais croisé durant la journée avait un comportement différent le soir. Je me fais peut-être des idées, mais c'est quand même bizarre. Il faudra que je me renseigne vers l'un des rares amis que je me suis fais durant mes cours. J'espère que vous viendrez bientôt me voir pour que je puisse vous faire découvrir mon nouvel environnement.
Vous me manquez beaucoup... Selena
24 mai 2010 Comme tous les jours, les parents de Selena lisent le journal du matin en buvant leur première tasse de café de la journée. Son père lisant les sports et sa mère lisant les people. Quand celle-ci arrivent sur la page mortuaire, elle jette un rapide coup d'oeil, ne s'attendant pas vraiment à lire le prénom de sa fille. Elle reste quelques instants stupéfait, ne regardant que le prénom de Selena, ne lisant pas plus bas. Se ne fut que quand son mari la secoua qu'elle revint sur terre. Elle commença donc de lire l'article, d'abord pour elle, mais en voyant une larme couler le long de sa joue, son mari lui demande ce qui se passe et également de lire à haute voix ; Une jeune femme de 21 ans prénommé Selena Watwood a été retrouvé morte hier en début de matinée à l'orée d'une forêt. Pour le moment la police s'occupant de l'enquête ne savent pas grand chose sur cette mort. Tout ce que nous pouvont dire, c'est qu'elle n'a pas été violée avant ou après sa mort. Qui, pourquoi ?? Personne ne sait rien et nous venons tout juste d'apprendre que ce n'est pas la seule mort étrange dans la ville. Ses derniers jours, plusieurs cadavres d'hommes et de femmes ont été retrouvé un peu partout et personne n'expliquent ses étranges mort. Est-ce qu'un tueur en série serait apparu en ville ?? Une épidémie ?? Cela est le mystère du moment. Ne comprennant vraiment pas ce qui était entrain de se passer, ses parents ne mettent pas longtemps avant de faire leurs valises et de prendre le train pour se rendre à Boston. Et dire que normalement ils auaient du y aller pour voir leur fille en pleine forme... Là ils y vont pour l'enterrer et surtout résoudre le mystère qui plane. Arriver en ville, les deux quadragénaires remarquent bien vite que quelque de pas normal se passe, mais ils ne savent pas quoi. En regardant les personnes, elles paraissent normal, mais quelque chose cloche dans leurs manière de parler, de bouger... Arriveront-ils à percer le mystère ou mourront-ils ??
remedy fitch
REMY ☂ the very bad thing
— messages : 308 — pseudo : RIDDLE / crocochou — crédits : JANE, la grande. — jukebox : « ma benz » BRIGITTE
bonjour, bonsoir... Je suis ici pour faire une demande de partenariat avec votre forum. Celui ci est vraiment très bien élaboré. Par le biais de ce partenariat je souhaiterais vous aider à vous faire connaitre
Le logo de votre forum est sur notre page d'accueille et dans nos partenaires accessible à partir de celle ci
Bonne continuation et merci de prendre le temps de lire cette demande Hpmagic
nom du forum — Time Of Return : Au Temps Des Maraudeurs
adresse du forum —
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http://harrypotterlife.forumotion.com/forum.htm
où se trouve notre bouton ? — Le logo de votre forum est sur notre page d'accueille et dans nos partenaires accessible à partir de celle ci
description du contexte —~~Mardi 5 Mai 1979~~
Cher Journal Les années passent nous ne sommes plus les enfants bagarreurs et chamailleurs d’autrefois. Bien sur nous avons gardés nos âmes de maraudeurs. James à pour habitudes de dire
« Maraudeur d’un jour Maraudeur de toujours »
Les années Poudlard sont derrière nous. Pour nous commences une nouvelle vie. Une nouvelle vie dans laquelle on doit apprendre à se débrouiller tout seul. Il n’y a plus de professeurs pour nous mettre des retenues ou encore pour nous donner des devoirs. Enfin cela dépends des personnes car pour ma part j’ai décidé de suivre des cours de médecine moldu pour pouvoir travailler dans ce domaine et pour être enfin accepté quelques part et des devoirs j‘en ai encore des tonnes. Et oui quand on est un loup Garou cela n’est pas facile de s’intégrer bien au contraire. A travers cette plume je tiens à dire que Rémus John Lupin à bien l’intention de réussir dans la vie et le fait d’être un loup garous ne changera rien à la donne.
Mes amis me permettent d’avoir cette force de me battre pour avoir une place dans la société. James et Lily ont donnés récemment naissance à un petit Harry. Bien que James est voulut que je deviennes le parrain de son enfant j’ai refusés. Pour la simple et bonne raison que je peux devenir dangereux et en aucun cas je ne voudrais faire du mal à ce bébé. C’est donc Sirius qui à été nommé Parrain.
Je dois avouer cependant que j’ai des doutes sur la fidélité de Peter. Depuis quelques temps il est bizarre et distant. Il ne parle presque plus. Cela en devient inquiétant mais je m’en soucierais plus tard.
« L’amitié est une chose qui permet de lutter. L’amitié est une arme que seul quelques personnes ont la clé et que la magie noir ne peut pas détruire»
J’ai toujours beaucoup aimé cette phrase prononcé par Albus Dumbledore il y a de cela quelques jours après que Lord Voldemort et quelques de ses partisans aient tué plusieurs sorciers né moldu. Arrivé sur les lieux nous avons essayé d’arrêter le massacre. Mais la seule chose que nous avons put faire est de récupérer une espèce de montre. Incapable de l’ouvrir nous avons prit la décision de la sceller dans le mur du grenier du QG de l’ordre du phœnix. J’ai la sensation que cet objet est dangereux et que cela n’est pas une bonne idée de l’avoir mit ici. J’ai toujours eu pour habitude de me fier à mon instinct.
Il est temps pour moi de retourner à mes affaires je vous souhaites une bonne soirée.
Rémus Lupin
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
~~5 Mai 2010~~
Parfois je me demandes pourquoi je me donnes tant de mal à vouloir à tout prix rénover la maison de Sirius qui était le QG de l’ordre du Phœnix. Hermione n’arrête pas de me répéter que c’est en hommage que je souhaite le faire. Mais dans le fond je ne pense pas que ça soit la réalité. Nous sommes tout les trois ensemble dans le grenier à trier carton après carton. Ne trouvant pas grand chose de récupérables. J’entends soudain Ron dire de venir voir. Avec Hermione nous nous approchons donc. Dans le mur nous pouvons voir quelques choses d’anormale comme une doubles tapisserie. Ron sort sa baguette et utilise plusieurs sorts de dévoilement. Bientôt la tapisserie du mur disparut pour laisser place à une niche. Hermione n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche pour dire quelques choses que Ron plongea la main dans la tapisserie et en sortit une montre. Une montre?
Il essaya de l’ouvrir celle ci semble coincé. Hermione proposa de la remettre à sa place mais je l’a prend dans mes mains. Est ce que cette montre à appartenu à mon parrain? J’aimerais tellement le revoir lui et aussi Rémus. Soudainement la montre s’illumina cette lumière nous enveloppa ainsi qu’une violente douleur dans la tête. Tout commença à tourner de plus en plus vite. Puis le noir.
Ce que nous ne savions pas c’est que cette montre viens de nous ramener en 1979.
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Le destin est devant nous. Au menu nouvelle époque, nouvelle menace et nouvelles rencontres
Ça ne me blesse pas. Veux-tu sentir ce que ça fait ? Veux-tu savoir que ça ne me blesse pas ? Veux-tu que je te parle du pacte que je suis en train de passer ? Toi, toi et moi.
Et si seulement je pouvais, Je ferais un pacte avec Dieu, Et le persuader d'échanger nos places, Je franchirais cette route, Je franchirais cette colline, Je franchirais cet immeuble. Si seulement je pouvais, oh...
Tu ne veux pas me blesser, Mais regarde comme la balle est enfoncée profondément. J'ignore que je te mets en morceaux. Il y a du tonnerre dans nos cœurs, bébé.
Y a t-il tellement de haine pour ceux que nous aimons ? Dis-moi, nous comptons tout les deux, n'est-pas ? Toi, toi et moi. Toi et moi nous ne seront pas malheureux.
Viens, bébé, viens viens chérie, Laisse moi te voler ce moment maintenant. Viens mon ange, viens, viens chéri, Laisse s'échanger l'expérience.
Et si seulement je pouvais, Je ferais un pacte avec Dieu, Et le persuader d'échanger nos places, Je franchirais cette route, Je franchirais cette colline, Sans aucun problème.
Citation :
Quand j'étais môme, je voyais des choses. Que les humains ne sont pas sensés voir. Que personne ne devrait voir. Si vous vous croyez fou au bout d'un moment vous trouvez une issue. Officiellement je suis mort pendant deux minutes. Mais quand vous traversez le temps s'arrête. Croyez moi deux minutes en enfer c'est toute une vie. Quand je suis revenue je savais. Que toutes ses choses que je voyais étaient réelles. Le paradis et l'enfer sont ici. Derrière chaque mur, chaque fenêtre. Le monde derrière le monde. Et nous on est en plein milieu. Les anges et démons ne peuvent pas passer dans notre dimension. A la place on à ce que j'appelle des hybrides. Pour le pari de leurs maîtres ils font du trafic d'influencer. Ils ne peuvent que chuchoter à nos oreilles. Mais un seul mot peut vous donner du courge ou transformer ce que vous aimez le plus en un horrible cauchemar. Ce qui porte le seau du démon comme ceux qui sont à moitié ange. Vivent parmi nous. L'équilibre ils appellent ça. Moi j'appelle ça de la connerie hypocrite. Chaque fois qu'un hybride enfreint les règles, j'expulse ce connard d'enfoiré directement en enfer.
JOHN CONSTANTINE.
L'odeur de souffre emplit l'air d'une façon tellement suffocante que plus personne n'osa respirer. Il est là. Il se tient en personne devant ses traîtres. Il attend mais il n'est pas connu pour sa patience. Alors qu'il abat son courroux de sa main démoniaque, venu des tréfonds de l'enfer, la silhouette recroquevillée née poussière, retourne poussière. Et dans les cendres encore fumantes on pourrait entendre l'écho des cris du dernier Post Lux Tenebras. L'écho de la vengeance.
430 ans plus tard, Los Angeles,L'odeur de pêche emplit l'air et adoucit la ville pleine du tumulte quotidien. Le crépuscule fait jaillir sur les interminables bâtisses des reflets sanguinaires. Une silhouette rentre dans un bar qui est loin de s'afficher comme les autres. Il parait fermé même. Mais à l'intérieur, on perçoit l'agitation qui règne, les murs, l'atmosphère semblent dépourvus de toute humanité quand on y songe un tant soit peu.
« Nom, Mot de Passe, Race. », annonce sans sourciller le colosse posté devant la deuxième porte qui mène à la source des bruits et des lumières. « Vogler, Satan est un pauvre con, Hybride Ange. », il sourit intérieurement à l'évocation du mot de passe et le grognement que fait le géant lui indique qu'il peut passer. Entre musiques, odeurs de souffre et d'autres mêlées fantasmagoriques, il se glisse dans une pièce insonorisé par des coussinets muraux. L'ambiance est tout autre, entre le noble et autre chose d'indescriptible mais de palpable. « Alors ? », demanda une voix grave derrière lui qui avait des accents nordiques. Il ne se retourna pas. Celle qui inondait les enfers comme elle était surnommé dernièrement détestait qu'on la dévisage. « Alors j'accepte. » « Bienvenue chez les Post Lux Tenebras Mr Vogler. »
Il soupira, la tension qui s'était accumulé ces dernières semaines disparut d'un coup. Comme arraché de son être. Il allait lui, Andrew Vogler, hybride ange depuis cinq ans foutre en l'air la plus grande entourloupe de tous les temps en rentrant dans la confrérie. Le pari visant à récupérer toutes les âmes humaines sans passer par la case purgatoire, le pari lancé par Satan à Dieu au commencement. Celui qui, au jugement dernier en possédera le plus aura l'ultime privilège de refaire le monde à sa sauce. Après l'Apocalypse bien entendu, faut pas rêver non plus. Tout ceci aurait été très beau et parfait, mais en 1610, William Morgan Edimburgh, hybride démon de son statut en décida autrement. Excédé par les mensonges du paradis et l'horreur de L'Enfer, choqué de ce pari qui oubliait que c'était de l'humanité dont il était question, il fonda la confrérie Post Lux Tenebras. Visant à empêcher toute âme de s'élever et de rester à tout jamais au purgatoire. Foutant ainsi en l'air le pari. Il fut dénoncé par un de ses confrères, arrêté par Satan en personne et réduit en cendres. Jusqu'à alors il y a 20 ans, aucune idée de rébellion ne souleva anges et démons. Et une inconnue qui avait été assassiné par son frère arriva en enfer. Suivie rapidement par un ex-tueur à gages de la même race et un sorcier neutre. Le trio refit jaillir de l'écho de la vengeance la Post Lux Tenebras.
Rien que ça.
Plus que tout la résistance s'organise dans une version bien plus calculée, secrète et avancée de l'ancienne confrérie. Mais vous, dans ce foutoir sans nom, dans ce monde vendu où plus personne ne croit en rien sinon en sa carte bleue, où personne ne prête attention aux gardiens de cette terre, fait de sous-sols anarchiques et de cieux mensongers, qui serez vous ?
Vous n'aurez pas droit à une deuxième chance, alors choisissez dès lors votre camp.
DOOMSDAY & CONSTANTINE. 2010.
Et serait t-il possible d'envisager un top ? J'ai vraiment un gros coup de cœur pour votre forum ! Merci d'avance quel que soit la réponse.
hpmagic. je suis désolé, mais nous refusons le partenariat. tentez de varier vos compliments d'un forum à un autre la prochaine fois ;) Doomsday. partenariat et top acceptés, merci beaucoup à vous, très beau forum également je vous ajoute dans nos partenaires ainsi que sur la PA :)
Bonjouuur bonsoir <3 Blood’s Chronicles se renouvelle en passant à sa saison 2 : en ce sens ce serait-t-il possible d’ajouter ‘Semblance Of Liberty ‘ à son titre ? Merchiii d'avance
Bonjour Franka de Time isn't healing, je viens vous annoncer que la demande de top a été acceptée je vous ajouterai dans la journée à notre page d'accueil :D bonne continuation
« Encore un jour se léve sur la planète France Mais j'ai depuis longtemps perdu mes rêves Je connais trop la danse »
Capucine s’étira mollement les bras, tel un chat se réveillant après une sieste. La jeune femme âgée de vingt-quatre ans était en train de rentrer chez elle après avoir été faire un tour dans le quartier asiatique, histoire de se faire un repas cambodgien pour ce soir. Le quartier asiatique n’était pas très loin de son appartement, elle y allait quand elle voulait après le travail. Capucine, sac en plastiques remplis à ras bord dans chaque main, essayait tant bien que mal de marcher normalement. Elle avait hâte de rentrer chez elle et de se faire couler un bon bain chaud après une telle journée de travail. A croire que les bordelais et autres étaient venus faire les courses à Leclerc pile le jour où elle travaillait toute la journée ! Comme s’ils s’étaient tous dit « Allez les gars ! On va racheter de la bouffe pour la semaine et des cadeaux pour les mômes à Leclerc exprès pour emmerder Capu ! Qui me suit ? » Tseuh ! La demoiselle hocha la tête. Sa mère lui avait toujours dit que la théorie du Complot n’existait pas. D’ailleurs, Capucine devait appeler ses parents ce soir. Depuis qu’elle habitait seule ils exigeant –sa mère surtout- qu’elle les appelle tous les jours. Capucine trouvait cela ridicule mais son père ayant le cœur fragile, mieux valait le faire. Elle entra la clef dans la serrure de son vieil immeuble, reprit un des deux sacs en plastique, referma la porte grâce à son derrière puis monta les escaliers. Escaliers ? Vieil immeuble. Capucine habitait au troisième sans ascenseur ! Ca lui faisait les jambes, comme disait Abi. De toute façon, en un an et demi, elle s’était habituée à toutes ces marches. La jeune femme prenait cela pour un entraînement. Une fois arrivée au seuil du troisième étage, Capucine crut avoir fait le plus gros quand soudain, ses yeux tombèrent sur la porte de son appartement. Grande ouverte et le hall d’entrée, saccagé. « Merde ! » fit-elle en lâchant les sacs de nourriture au sol. Capucine prit son portable, d’une main tremblante. « Allô, la police ? On m’a cambriolée … Oui … Rue Emile Zola … »
Malek, seize ans, tout juste, descendit du bus scolaire qui le ramenait chez lui. Le lycéen, sac de cours sur les épaules, il salua ses camarades par la fenêtre et entama sa courte marche. Malek traversa la rue et se retrouva automatiquement chez lui. Une chance d’habiter aussi près de l’arrêt de bus ! Il avait hâte de rentrer chez lui après une journée totalement banale et chiante au bahut où il n’avait fait qu’enchaîner des cours tous plus … bah chiants les uns que les autres. C’était un bon élève quand il le voulait mais les cours ne l’intéressaient pas, il avait d’autres préoccupations dans la vie, comme la musique. Malek ouvrit la porte d’entrée et salua ses parents qui regardaient tranquillement la télévision au salon. Ses sœurs ne devaient pas encore être rentrées, toujours en train de traîner celles là. Il enleva ses chaussures et les mit à leur place, dans le placard du couloir puis posa sa veste sur le porte manteau. Toujours avec son sac sur le dos il se précipita dans sa chambre et referma la porte. Pour un ado de son âge, sa chambre était un refuge, un rempart contre tous les dangers de l’extérieur. A commencer par ses sœurs. Enfin là, c’était sa plus jeune sœur en l’occurrence. « Horia ! Qu’est ce que tu fous dans ma chambre ? » Fit-il plutôt contrarié. Elle avait sursauté en l’entendant arrivé. La gamine de sept ans, toute penaude tenta un pauvre sourire. « Je voulais voir si t’avais des bonbons … » murmura Horia. Malek soupira et lui fit comprendre en un geste de partir, ce qu’elle ne tarda pas à faire. « Et la prochaine fois demande moi au lieu de venir fouiller dans ma chambre ! » Il secoua la tête et referma la porte derrière sa sœur. Enfin de la tranquillité ! Malek s’étira mollement puis, alla mettre un CD dans le lecteur. Il avait pris pour habitude de faire ses devoirs en musique, mais avant de commencer, il songea à regarder sur son portable comme il le faisait souvent. On ne savait jamais quand on pouvait recevoir un SMS. Bingo ! Malek vit sur l’écran de son portable qu’il avait reçu un message pendant qu’il rentrait chez lui. En plus, c’était un message de Fiona, sa petite amie ! Sauf qu’au fur et à mesure qu’il lisait ce message, son sourire se décomposa. « Je déménage à Nice dans deux mois. Il vaut mieux qu’on arrête là. F. »
Damien ne put s’empêcher de souffler. Pourquoi le gouvernement avait interdit de fumer dans les lieux publics déjà ? Bon d’accord c’était de la mauvaise fois. Le jeune homme, la trentaine tout juste entamée, était barman dans un café pas très loin de la place de la Victoire. Et vu que nous étions en été, autant dire que le café était vraiment très fréquenté. Damien avait passé une journée très mouvementée à servir, bouger partout le tout dans un brouhaha qui lui avait donné la migraine. Pourtant il avait l’habitude mais bon. Voilà pourquoi, à environ quinze heures, Damien était derrière le café, cigarette entre les lèvres. Le patron lui avait donné sa pause, heureusement d’ailleurs vu qu’il aurait fini par se flinguer en restant à l’intérieur. Le presque silence de l’extérieur et l’air estival étaient tout ce qu’il lui fallait. En plus de sa cigarette bien évidemment. Adossé contre la rambarde de la cour, il laissa son esprit vagabonder à son gré. Autant dire qu’il avait hâte que cette journée se termine. En plus, il s’était fait engueulé par des clients hollandais parce que, paraît-il, il parlait mal anglais. Non mais quelle blague ! Heureusement que les autres l’avaient calmé. Deux minutes de plus et il n’aurait plus répondu de rien. Oh il n’était pas violent hein … Seulement un peu sanguin, mais rien de très grave. Damien pensa à sa femme qui travaillait comme secrétaire médicale et qui l’attendait à la maison. Un sourire étira ses minces lèvres. Ses yeux étaient devenus étincelants. Sa femme l’attendait à la maison, elle ne travaillait plus. Il allait devenir papa. PAPA ! Dans cinq mois ! C’était tellement incroyable pour un mec comme lui. Un mec qui aurait pu mal tourner si sa Célia n’avait pas croisé sa route. Mais tout ça était derrière lui et ce petit être qui viendrait au monde dans quelques mois, sera la chaire de sa chaire. C’était tout simplement … ouah.
Le quartier Mériadeck était un quartier très moderne et surtout administratif. Daniel y avait son bureau ainsi, ceux de son entreprise d’import export, dans un immeuble pas loin de celui de la CUB. Il était au téléphone, en train de régler un contrat pour des japonais. C’était vraiment une affaire très, très importante. D’ailleurs la semaine prochaine, il devait se rendre à Paris pour concevoir les derniers détails. La cinquantaine mais « bien conservé », comme il se plaisait à le dire, Daniel était vêtu d’un élégant costume, la cravate en moins. Après tout c’était lui le boss. L’appel terminé, il raccrocha, plutôt satisfait, et se rassit à son bureau. Il aurait voulu faire une petite pause et demander un café à sa secrétaire quand soudain, Daniel commença à entendre des éclats de voix venant du couloir. Il fronça les sourcils puis, comprit en voyant la porte s’ouvrir et son fils aîné apparaître, suivit par sa secrétaire affolée. « Je suis désolée monsieur ! » fit-elle dans tous ces états. « Ce n’est rien Marguerite. Laissez. » Ladite Marguerite qui était donc ça secrétaire resta en arrière. Elle était vêtue d’un tailleur, dans la vingtaine, bref, très jolie. Dommage qu’elle s’appelle Marguerite. « Que me vaut ta visite Vincent ? » Le père et le fils étaient face à face, seul le bureau du premier les séparait. Vincent ne semblait plutôt en colère. « C’est vrai que tu as appelé le directeur de la salle des fêtes pour dire qu’on jouerait pas samedi ? » Il semblait à bout de nerfs mais Daniel, lui était très calme. Il savait de quoi son fils parlait. « C’est fort possible. » « Papa ! Putain j’y crois pas ! » lança-t-il. « Surveille ton langage ! C’est encore une des raisons pour laquelle j’ai fait ça. Tes soit disant amis ne sont que des … » « Tu les connais même pas ! » le coupa Vincent. Le jeune homme était tellement en colère qu’il avait commencé à hausser le ton. « Vincent tu te calmes maintenant ! Si tu crois que je vais te laisser gâcher ta vie à jouer de la guitare et à pousser la chansonnette dans ton groupe minable, tu te trompes ! » Daniel commençait tout de même à perdre patience. Son fils refusait de comprendre. Vincent se prit la tête entre les mains, fou de rage. « Comment tu peux dire ça ? Tu connais rien de ma vie okay ! Tu m’as jamais chanter ni jouer ! Et puis tu pénalises tout le groupe ! » Il voulait tellement montrer à son père qu’il faisait une erreur, il était tellement en colère contre ses préjugés et lui. Seulement, Daniel restait campé dans ses idéaux. « Tu me remercieras plus tard et les parents de tes amis aussi. » La mâchoire de Vincent se crispa de rage. Si ses yeux avaient pu tuer, son père n’aurait été qu’un lointain souvenir, même si c’est triste à dire. Il était là à le regarder de haut et ça le dégoutait. « Dans tes rêves espèce de taré. » siffla-t-il. Furieux, il quitta le bureau de son père. Marguerite, la secrétaire, adressa un signe de tête à son patron. « Encore pardon monsieur. » Puis elle suivit Vincent et sortit du bureau. D’ailleurs avant qu’elle ne sorte, Daniel n’avait pas manqué de remarquer que cette jupe lui faisait des fesses très appétissantes. Il ne manquerait pas de lui dire ce soir, avant de partir.
Le pont de Pierre, qui surplombe la Garonne. Deux âmes sœurs au-dessus de l’eau. Sous un ciel nuageux, au milieu de la vie urbaine. Des autres. Du monde. Charles et Anne sont là, sur le côté droit du pont. Ils regardent l’eau du fleuve qui coule en dessous d’eux d’un air absent. Ils sont dans leur bulle, comme si le monde extérieur ne les touchait plus. Pour cause. Charles pose main ridée sur celle de sa femme. Anne lève ses yeux vers lui. Ils échangent un regard indéchiffrable. Même après cinquante ans de mariage, il la trouvet toujours aussi belle et pure qu’au jour de leur première rencontrer. Un soir d’hiver. Sur ce même pont. Le pont de Pierre. Cinquante ans qu’ils ne se sont pas quittés, que leurs vies sont liées, pour le meilleur et pour le pire. Anne pose sa tête contre l’épaule de son mari. Comme dit le dicton, toutes les bonnes choses ont une fin, surtout les belles histoires. Anne ne passera pas la nuit, c’est ce qu’on dit les médecins. Demain, elle ne sera plus là. La maladie l’emportera. C’était leur dernière jour ensemble. Leur dernier jour sur Terre réunis. La première fois en cinquante longues années qu’ils seront séparés. Anne le regard voilé ne pense à rien. Elle est lasse, lasse de se battre pour vivre et commence à se dire que la mort est la seule issue. Après tout, quand on a eu une belle et longue vie comme elle, on se dit qu’on a de la chance et qu’on n’a pas à se plaindre de trop, mais ce n’est pas évidemment. Charles ne parle pas. Sa gorge est nouée, il est incapable de dire le moindre mot. Ses yeux gris s’humidifient derrière ses grosses lunettes à larges bords. Il n’arrive pas à s’y faire. Il se contente de la soutenir, de l’aider et de l’aimer, comme il l’a toujours fait. C’est dur. Brisant. Insupportable. Ils gardent le silence, mais un silence qui en dit long. Après un demi-siècle de vie commune, ils n’ont plus besoin de parler pour se comprendre. Charles restera avec elle cette nuit. Anne s’endormira dans ses bras et ne se réveillera plus. Puis, il appellera leurs enfants, le reste de la famille et leurs amis. Viendra le temps de la paperasse. « Tu te souviens de ce soir où nous nous sommes rencontrés ? » Charles ne sait pas comment il a trouvé le courage de parler. Devant eux s’étend Bordeaux. La ville où ils sont nés et où ils mourront tous les deux. Unis pour la vie, ils se le sont promis. Anne le regarde en fronçant les sourcils. « Oui bien sur, c’était ici même mais … » « Je m’appelle Charles Delia et vous êtes mademoiselle ? » Anne le regarde, se demandait s’il est sérieux mais oui, il est très sérieux. Elle sourit et décide de marcher dans la combine. « Anne Delmar. » « Enchanté. C’est une belle soirée non ? » …
Bordeaux, chef-lieu de l'Aquitaine, environ 235 178 d'habitants dans la commune et un million si vous rajoutez l'agglomération et l'aire urbaine. Pas aussi important que Paris, la capitale qui fait rêver, mais importante et prisée quand même. Bordeaux, c'est l'équilibre Et donc des centaines d'histoires à raconter. Des centaines d'âmes, toutes différentes qui n'ont parfois pas conscience que quelqu'un d'important pour eux dans le futur peut se cacher au coin de la rue. Car comme on dit, si on cherchait bien, on trouverait des liens pour relier tous les habitants de cette ville, que ce soit entre un homme d'affaire véreux et une vieille d'âme, ou un trentenaire au chômage et une adolescente qui passe son temps sur la rue Sainte-Catherine. De nos jours, il faut se battre pour vivre. Ce n'est plus si facile qu'avant. Alors la nouvelle génération se bat pour ses droits, certains plus que d'autres et avec plus ou moins de chance. La difficulté côtoie la facilité. L'ancien côtoie le moderne. Bref, la vie de milliers d'êtres qui ne désirent qu'accomplir leurs rêves et de les partager.
description du contexte — Ah l'amour, toujours l'amour, rien que l'amour. Le coeur des hommes semble avoir toujours été dominé par cette quête éternelle de l'autre moitié. Le véritable amour. Platon en faisait déjà ses gorges chaudes à l'époque. Et tous s'accordaient à affirmer qu'il n'existait nul sentiment de plus élevé et de plus beau. Le plus recherché également. Enfin, quand les hommes ne font pas la guerre. Car la discorde vient bien souvent rompre ce joli petit équilibre enfin trouvé. Mais que ce soit l'amour, ou la haine, son plus proche parent, tout être humain pense le maîtriser, que ce sentiment puissant ne peut provenir que de lui même. Mais ces sentiments, au même titre que toute chose, sont les jouets des dieux. Et l'amour, en fin de compte, n'est qu'une affaire de business.
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