Seanna Whealer
— messages : 16
— pseudo : ebony bones.
— crédits : Aurélie
|  Sujet: hayden christensen — libre.  Dim 5 Sep - 20:39 | |
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Drôle – Taquin – Cultivé – Protecteur – Joueur – Malicieux.
prénoms et noms - Clayton, nom au choix
âge - 18ans, mort il y a cinq ans ( 23ans de nos jours )
origines - Écossais
groupe - They were
avatar souhaité - Hayden Christensen
crédits - Morrigan
Fin de l'histoire. Clayton a toujours été un garçon casse-cou, profitant de la vie au maximum. Il était ambitieux et rêvait d'un grand avenir avec sa meilleure amie Seanna. Il était optimiste, ne voyant que le bon côté des choses, ou presque. Il a eu une enfance tranquille, seul avec sa mère, n'ayant jamais connu son père et étant fils unique il n'a eu aucun modèle masculin. Sa mère gagnait durement un bon salaire, mais elle faisait tout son possible pour rendre son fils heureux, lui imposant toutefois des limites. Petit déjà il avait conscience de la valeur de l'argent, le rendant un peu plus mature au yeux des adultes. Pourtant il a toujours été un grand gamin, généreux, aimant faire profiter les autres tout autant que lui-même. Le bonheur de ses proches fait le sien. Depuis toujours il joue les durs alors qu'il a un coeur tendre, il aimait s'amuser avec les filles. Cependant, n'étant pas du genre à briser les coeurs, il mettait les points sur les i dès le départ, faisant comprendre à la concernée que ce n'était que le fruit d'une nuit. Aux premiers abords il semble être un mauvais garçon, il aime donner cette impression, c'est ainsi qu'il a grandit, sous des apparences trompeuses pour « survivre » dans le souk qu'était son école. C'est aussi de cette manière qu'il s'est forgé le caractère et est devenu très protecteur envers ses proches. Clayton est mort suite à un accident de moto à l'âge de dix-huit ans, il avait décidé de faire le malin en ne mettant aucune protection. Il se retrouve désormais sans enveloppe charnelle.
Mon autre, mon ange. Quand elle sourit, il est heureux, quand elle est triste, sa bonne humeur s'envole et lorsqu'elle est fatiguée, il est son oreiller. Ils se connaissent depuis tout petit, il avait neuf ans lorsqu'il a rencontré la petite fille qu'elle était. Malgré leur trois années d'écart ils ont tout de suite accroché pour ne plus se lâcher. Elle est, d'une certaine manière, la femme de sa vie avec sa mère. Ils sont meilleur ami et pourtant le qualificatif est bien faible pour parler de leur relation si fusionnelle. Ensemble ils ont fait les 400coups, toujours là l'un pour l'autre malgré leur chamailleries fréquentes. Ils se cherchent pour mieux se réconcilier, l'un sans l'autre, ils ne sont pratiquement plus rien. Pourtant Clayton est mort, et il ne pourra rester indéfiniment visible aux yeux de sa meilleure, lui sera toujours là pour elle, pour la soutenir mais surtout il n'aura jamais à subir son absence. Alors que Seanna, elle, redoute plus que tout le jour où son meilleur ami disparaîtra à nouveau. Ayant déjà goûté à son absence elle sait qu'elle ne supportera pas cette deuxième disparition, pourtant elle n'a pas le choix. Clayton tente de lui faire comprendre qu'elle peut vivre sans le voir, qu'il sera toujours là, à chaque étapes importantes de sa vie tout comme pour les plus insignifiantes. Il n'a de cesse de lui dire que tant que les souvenirs résideront, alors elle le verra. Cependant la belle n'en fait qu'à sa tête et il craint le jour où il ne pourra plus lui répondre, où il ne pourra plus lui faire comprendre. Il sait que ce jour là, elle risquerait de retomber dans la même dépression qu'à sa mort, lorsqu'elle ne le voyait pas encore.
- Spoiler:
— extrait de la présentation de Seanna.Et je la voyais tous les jours s'enterrer un peu plus dans son supplice, un pied dans la tombe. Elle n'était plus que l'ombre d'elle même, son sourire avait disparu à l'instar du mien, de moi. Je supportais ses nuits douloureuses, je voulais tant lui dire que j'étais là, que je n'étais pas complètement parti. Tous les jours je la voyais venir dans ma chambre, s'allonger sur mon lit et me parler. Et je lui répondais à chaque fois, mais elle ne m'entendait pas et repartait encore plus triste. J'étais la raison de son malheur, il n'y avait aucune issue. J'étais mort, je n'avais plus rien à faire de moi, elle était encore vivante et elle gâchait sa vie à pleurer. Pour moi. Celui qui avait juste voulu frimer, celui qui aurait pu sauver sa vie s'il avait mis un casque sur sa tête. Elle versait ses larmes pour un imbécile. Et chaque soir je lui racontais notre petite histoire, je tentais de lui insuffler nos bons moments, notre rencontre. Elle avait six ans, tout droit venue de Chicago, elle était la petite américaine de l'école. La sublime Seanna qui à douze ans faisait chavirer tous les coeurs, celle qui avait un sale caractère de cochon et qui pourtant était tellement douce au fond. Je lui rappelais tous nos délires, nos chamailleries, nos étreintes. Je lui parlais de ces dix années ensemble, de la petite fille pétillante qu'elle était. Elle méritait tellement mieux que la souffrance, dont j'étais le coupable. J'aurais préféré croire à l'Enfer et y accéder, mais j'étais là et même si elle ne pouvait me voir, je jurais de m'occuper d'elle jusqu'à la fin de sa vie. Je me promis de tout faire pour la rendre heureuse, la rendre aussi belle qu'elle l'a toujours été. Elle était une belle personne et j'avais gâché ça.
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